Tel que l'expliquait La Tribune de Genève en mars 2017, de plus en plus de Suisse se tournent vers la FIV à l'étranger. Il en est de même pour les français tel que l'indique le site Magicmaman.com. Lisez la suite, et vous comprendrez pourquoi!
Tarifs plus abordables, accessibilité aux techniques les plus récentes, taux de réussites plus élevés et accessibilité aux traitements tout simplement pour certains sont les quatre principales raisons pour lesquelles mes clients décident d'effectuer leur traitement à l'étranger.
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Et la Suisse dans tout ça?
La Suisse a eu durant longtemps une législation très restrictive en matière de procréation médicalement assistée. Ce n'est que depuis deux ans, dès septembre 2017, que les centres de PMA suisses peuvent utiliser les techniques les plus avancées dans le domaine.
En effet, grâce à la modification de LPMA en juin 2016 (mise en application en septembre 2017), il est désormais possible de :
- congeler des embryons et non plus des zygotes (maximum 12)
- cultiver plus d'embryons qui ce qui sera transféré
- pratiquer le diagnostique préimplantatoire sur les embryons
Ces avancées vont surement augmenter drastiquement le taux de réussite des centres de PMA suisses.Le CPMA de Lausanne déclare d'ailleurs que les "taux de grossesse ont fortement augmenté depuis l'entrée en vigueur de la nouvelle LPMA".
Néanmoins,
- La FIV reste non remboursée par l’assurance maladie;
- La FIV reste une procédure très chère même si les centres ont fait des efforts sur les coûts grâce aux économies d'échelle ;
- D'autres pays tels que l'Espagne, la République tchèque et le Portugal utilisent depuis déjà de nombreuses années les techniques les plus avancées.
- Les cliniques à l'étranger font souvent plus de procédures par an que les centres en Suisse
- Le don d'ovocytes reste interdit en Suisse obligeant les couples à se tourner vers l'étranger
Partir à l'étranger, est-ce pour vous?
maFIV peut vous aider à répondre à cette question. Si vous souhaitez être accompagné(e)s dans ce choix et connaitre les alternatives en Suisse et à l'étranger, n'hésitez pas à nous contacter.
Suivre un traitement de FIV en Suisse est également une bonne option dans certaines cas, surtout depuis la modification de la loi comme expliqué.
Vous informer sur les procédures proposées par les différents centres suisses vous permettra de tirer partie des meilleures techniques disponibles.
Si vous devez suivre un traitement de FIV avec don d'ovocytes, vous n'aurez pas le choix et devrez vous tourner vers l'étranger. Dans ce cas, maFIV peut vous aider à choisir le pays où vous rendre, selon sa législation, et la clinique dans laquelle effectuer votre traitement. N'hésitez pas à nous contacter.
Et la France dans tout ça?
En France, quatre voire 5 FIV sont remboursées par la Sécu. Néanmoins, les taux de réussite en France sont bas. Comme le soulignait René Frydman "Si chez nous 30 % des PMA, de l’insémination artificielle à la fécondation in vitro se solde par une naissance, c’est le double en Espagne ou aux Etats-Unis", 20minutes.fr.
Le don d'ovocytes, contrairement à la Suisse, est autorisé en France. Néanmoins, les taux de succès sont également plus bas que dans les autres pays. Pour en savoir plus, c'est ici.
Enfin, pour congeler leurs ovocytes, les femmes français n'ont pour le moment pas le choix que de sortir du pays.
Ainsi, envisager un traitement à l'étranger peu également être une bonne option pour les femmes et couples français!