Fécondation in vitro
La FIV englobe un ensemble de traitements dans le but de féconder en laboratoire les cellules reproductrices de la femme (ovules) par les cellules reproductrices de l’homme (spermatozoïdes).
Le recours à la FIV
La fécondation in vitro se pratique notamment dans certains cas d’infertilité :

Les techniques associées à la FIV telles que méthodes de fertilisation, de culture, de testing des embryons et de cryo-conservation influencent ce taux.
ART Fertilité vous accompagne dans vos démarches
Attention : le nombre de traitements effectués par année, le type de traitement (FIV naturelle, ICSI, avec dosages forts ou doux), la qualité du laboratoire et la formation des médecins sont des éléments qui peuvent faire la différence dans le taux de réussite, d’où la nécessité d’être bien informé et accompagné.
Le tarif de la FIV oscille entre 2 500 € et 15 000 € selon le pays, la clinique et les options choisies (ICSI, DPI…). Par exemple, en Suisse, le tarif de la FIV est d’environ CHF 12’000 et celle-ci n’est pas remboursée par l’assurance maladie.
Le processus de la FIV
Le processus de FIV peut-être adapté selon le cas :
Lorsqu’un grand nombre d’ovules est arrivé à maturité, ils sont prélevés par ponction des follicules, sous anesthésie générale ou locale et sous contrôle échographique.
En règle générale, le prélèvement du sperme du partenaire s’effectue le même jour que la ponction des follicules. Le sperme peut également provenir d’un échantillon congelé ou d’un don. Les ovules ponctionnés sont alors fécondés, en laboratoire, par les spermatozoïdes. Les embryons ainsi créés sont cultivés in vitro, entre 2 et 5 jours, et observés quotidiennement.
Par la suite, un ou deux embryons de qualité est (sont) transféré(s) dans l’utérus de la femme. Les embryons de qualité non utilisés peuvent être congelés et conservés pour un éventuel traitement ultérieur.
-
stimulation
-
La stimulation
Sur la base des différents taux hormonaux de la femme (analyses pouvant être prescrites par le gynécologue habituel), le médecin de la Clinique établira un protocole de stimulation adapté.
La stimulation ovarienne dure de 10 à 14 jours. Durant cette période, des gonadotrophines sont administrées quotidiennement par injection sous-cutanée. La phase de stimulation doit être étroitement contrôlée par échographie. En général, le but est d’obtenir de 6 à 12 follicules.
-
ponction
-
La ponction des ovules
Les ovules sont prélevés par aspiration des follicules, sous anesthésie générale légère. Cette intervention dure environ vingt minutes.
-
fécondation
-
La fécondation des ovules
Deux méthodes de fécondation existent : la fécondation in vitro classique et la fécondation par injection des spermatozoïdes dans l’ovule (ICSI). Au préalable, les spermatozoïdes peuvent, au besoin, être sélectionnés par PICSI, IMSI et MACS, ou d’autres méthodes développées en interne par la clinique.
-
culture
-
La culture des embryons
Les embryons créés lors de la fécondation sont cultivés pendant 2 à 6 jours dans des incubateurs spéciaux, conçus pour « imiter » au mieux l’environnement naturel du corps de la femme. Leur développement est suivi méticuleusement.
La culture prolongée des embryons jusqu’à 5 ou 6 jours et leur observation permettent de déterminer ceux qui auront le plus de chance de résulter en une grossesse. Cette technique permet d’éviter, dans certains cas, le transfert de plusieurs embryons et ainsi diminue le nombre de grossesses gémellaires risquées pour la femme.
-
transfert
-
Le transfert embryonnaire
Le transfert embryonnaire est sans douleur et ne dure que quelques minutes (pas d’anesthésie). Selon l’âge, la problématique et le désir du couple, un ou deux embryons sont introduits dans l’utérus de la femme sous contrôle échographique.
-
conservation
-
La cryoconservation
Les embryons créés et non utilisés lors du premier transfert peuvent être conservés dans de l’azote liquide à moins 196°C. Ces embryons pourront être cryoconservés pour un éventuel transfert ultérieur. Le taux de réussite de la congélation / décongélation dépend du laboratoire et des ses équipement.
La stimulation
Sur la base des différents taux hormonaux de la femme (analyses pouvant être prescrites par le gynécologue habituel), le médecin de la Clinique établira un protocole de stimulation adapté.
La stimulation ovarienne dure de 10 à 14 jours. Durant cette période, des gonadotrophines sont administrées quotidiennement par injection sous-cutanée. La phase de stimulation doit être étroitement contrôlée par échographie. En général, le but est d’obtenir de 6 à 12 follicules.
La ponction des ovules
Les ovules sont prélevés par aspiration des follicules, sous anesthésie générale légère. Cette intervention dure environ vingt minutes.
La fécondation des ovules
Deux méthodes de fécondation existent : la fécondation in vitro classique et la fécondation par injection des spermatozoïdes dans l’ovule (ICSI). Au préalable, les spermatozoïdes peuvent, au besoin, être sélectionnés par PICSI, IMSI et MACS, ou d’autres méthodes développées en interne par la clinique.
La culture des embryons
Les embryons créés lors de la fécondation sont cultivés pendant 2 à 6 jours dans des incubateurs spéciaux, conçus pour « imiter » au mieux l’environnement naturel du corps de la femme. Leur développement est suivi méticuleusement.
La culture prolongée des embryons jusqu’à 5 ou 6 jours et leur observation permettent de déterminer ceux qui auront le plus de chance de résulter en une grossesse. Cette technique permet d’éviter, dans certains cas, le transfert de plusieurs embryons et ainsi diminue le nombre de grossesses gémellaires risquées pour la femme.
Le transfert embryonnaire
Le transfert embryonnaire est sans douleur et ne dure que quelques minutes (pas d’anesthésie). Selon l’âge, la problématique et le désir du couple, un ou deux embryons sont introduits dans l’utérus de la femme sous contrôle échographique.
La cryoconservation
Les embryons créés et non utilisés lors du premier transfert peuvent être conservés dans de l’azote liquide à moins 196°C. Ces embryons pourront être cryoconservés pour un éventuel transfert ultérieur. Le taux de réussite de la congélation / décongélation dépend du laboratoire et des ses équipement.